Visites scolaires
Après deux visites, le 25 avril, qui ont regroupé une cinquantaine d’enfants des grandes sections de l’Ecole du Stade, une deuxième série de visites se dérouleront le 20 mai prochain.
Médiation : Elisabetta Emina-Gaspard, guide-conférencière
Avec la collaboration de Géraldine Lachaussée, agent du Centre des Monuments Nationaux
Première quinzaine d'octobre - Workshop
Ils en ont arpenté à pied les différents quartiers : Carnolès, le vieux village, le littoral….. dont il veulent faire leur sujet d’étude au cours du premier semestre de l’année universitaire 2018-2019.
Ils ont rencontré notre Vice-Président Denis Berthelot, qui les a aidés à appréhender les enjeux urbains et les problèmes de gestion du site Cap Moderne, qu’ils ont visité sous la conduite de notre Administrateur Elisabetta Gaspard.
Ils ont également été accueillis à La Mairie, par Monsieur le Maire Patrick Cesari, et par le premier Adjoint Richard Ciocchetti, qui ont souligné les transformations auxquelles la Ville se prépare, et ont souhaité être informés du résultat de leurs études.
Vendredi 7 - 18h30 - Conférence
Jean-Christophe Gay est agrégé de géographie, aujourd’hui professeur des universités à l’université Nice Sophia Antipolis. Il travaille sur les pratiques et lieux du tourisme, les loisirs et les sports.
Cette conférence géohistorique replace la Côte d’Azur dans la dynamique mondiale du tourisme, des origines de celui-ci, au XVIIIe siècle, jusqu’à nos jours. Elle présente l’évolution du rapport de la société occidentale à l’eau, au soleil ou à la chaleur, au travers des deux inventions de la Côte d’Azur, la première qui correspond à l’émergence de la notion de riviera au XIXe siècle, la seconde avec l’avènement du soleil qui explique le renversement de la saisonnalité des années 1920-1930 sur les rivages méditerranéens, lorsque l’été fut préféré à l’hiver. Cette recherche du soleil, associée à une exaltation du corps, a considérablement modifié l’organisation des territoires. Les paysages comme l’architecture s’en sont trouvés profondément bouleversés.
Mercredi 29 - 21h - Jazz
Pour ce dernier concert, le duo d’origine a évolué vers un quatuor, avec à nouveau Fabrizio Bruzone à la contrebasse, et l’écossais Stu Richie à la batterie, orfèvre des cymbales, musicien à la créativité débordante et à la joie communicative. Il a rejoint le groupe pour présenter un répertoire empreint de standards de Jazz et de compositions originales.
Mardi 14 - 21h - Jazz
Pour ce deuxième concert, Prischi et Carré ont invité le contrebassiste Fabrizio Bruzone, soliste à l’Orchestre Philharmonique de Nice, véritable virtuose de son instrument, pour créer à trois voix sur une fine sélection de standards de Jazz et de musiques latines revisitées.
Vendredi 3 - 18h30- Débat
Pour cette première édition d’une série de rencontres culturelles réunissant deux personnalités (artiste, écrivain, architecte, cinéaste, musicien…) dont le travail ou la démarche fait écho à la culture de la Méditerranée, nous avions invité Jean Gili, pour évoquer la Méditerranée dans le cinéma italien, et Christian Barani, pour parler de ses rencontres avec la substance méditerranéenne.
Critique cinématographique, historien du cinéma et notamment créateur du Festival du cinéma italien d’Annecy, Jean Antoine Gili, natif de Nice, est un spécialiste du cinéma italien.
Plusieurs extraits de film nous ont été présentés :
– Scipion l’Africain (1937) de Carmine Gallone : Scipion fait la conquête de Carthage, comme Mussolini s’empare de l’Ethiopie
– Le Navire blanc (1941) de R. Rossellini, exaltation de la puissance maritime de l’Italie
– Amarcord (1973) de F. Fellini : le cinéaste fait revivre le Rimini de son enfance
– Il Sorpasso (Le Fanfaron) (1962) de Dino Risi, avec V. Gassman et J.L. Trintignant, qui a pour cadre une plage près de Livourne
– Nuovomondo (Golden Door) (2006) d’Emanuele Crialese : des Siciliens embarquent pour New-York, le déchirement de l’émigration
Dans un corps/caméra marchant dans l’espace, Christian Barani, artiste et vidéaste, né à Roquebrune, compose avec le hasard et l’improvisation : il nous a fait déambuler dans les rues de Beyrouth, que tous les Libanais, en dépit des vicissitudes, considèrent comme un « Paradis ».
Mardi 24 - 21h - Jazz
Les jardins de la Villa E-1027 ont accueilli le duo, Benjamin Prischi, pianiste, et Manu Carré, saxophoniste, à l’occasion du premier concert de la saison 2018.
La rencontre de deux musiciens amoureux du jazz, de son histoire et de ses codes : l’échange, la spontanéité, l’expression libre sur un répertoire de standards et de compositions.
Manu Carré est professeur au Conservatoire de Menton et leader du groupe Electric Five, avec lesquels il crée les albums Go et Labyrinthe ;
Benjamin Prischi, talentueux et jeune pianiste, est professeur à Menton, son répertoire s’étend de Jean-Sébastien Bach aux improvisations Jazz.
Ils ont été rejoints successivement, pour les deuxième et troisième concerts, par Fabrizio Bruzone, contrebassiste, et Stue Richie, batteur.